Avec le parrainage de Stoneline, un autre concert légendaire du festival de musique d'Istanbul qui incite les gens à respecter le compositeur, vers 2020, année Beethoven !
Comme l'a dit Hans von Bülow, "le Clavier bien tempéré est l'Ancien Testament et les Sonates de Beethoven sont le Nouveau Testament". Nous devons croire en l'un et en l'autre". Dans ce concert, Piotr Anderszewski, tout en présentant un programme qui lui est propre et qui exige une grande virtuosité, associe les Préludes et fugues de Bach non pas aux Sonates ou à Beethoven, mais à ses Variations Diabelli. En outre, il joue la pièce de Schumann inspirée des Préludes de Bach.
L'histoire de Piotr Anderszewski avec les "Variations Diabelli" remonte au concours de piano de Leeds en 1990. La société Teldec a rapidement proposé un album à Anderszewski, qui avait attiré toute l'attention avec cette pièce qu'il avait jouée en demi-finale. Le jeune pianiste d'une vingtaine d'années qui a refusé cette offre, lorsqu'il a reçu la même offre de Virgin Classics plusieurs années plus tard, l'a acceptée, pensant que sa connaissance de l'œuvre de Beethoven est plus approfondie. Alors que les "Variations Diabelli" d'Anderszewski, récompensées par le Choc du Monde de la Musique et ECHO Classic, sont considérées comme les meilleures pour une certaine période, les critiques évaluent son interprétation en concert comme la meilleure qu'ils aient entendue jusqu'à aujourd'hui. L'artiste lui-même compare cette œuvre magnifique à un voyage et invite tous les passionnés de musique à ce voyage au terme duquel ils seront transformés. Il décrit les Variations Diabelli comme "un univers complet composé de tous les souvenirs de la personne, même s'il s'agissait d'une petite cellule au départ".
Pour plus d'informations, voir https://muzik.iksv.org/i/assets/muzik/document/piotr-anderszewski-2019-gp.pdf
